• votre commentaire

  • votre commentaire
  • (Cliquez sur l' image pour l' agrandir)

     

    Timur Kacharava était un militant anarchiste, vegan, membre du Food Not Bombs - St-Petersbourg en Russie et par ailleurs membre du groupe d'anarchopunk "Sandinista!".


    Il a été sauvagement assassiné par des fascistes le 13 Novembre 2005 de plusieurs coups de couteaux en pleine rue, au retour d'une distribution de nourriture pour le Food Not Bombs : sans que ses meurtriers ne soient jamais inquiétés.

    Nous savons de quelle impunité les groupuscules néo-fascistes et néo-nazis bénéficient en Russie de la part de l'actuel gouvernement russe, qui en a tant besoin dans sa répression des mouvements révolutionnaires.

    Nous croyons que le temps venu, le gouvernement français saura faire preuve la même partialité intéressée.

    En Russie, mais aussi ailleurs en Europe, les aggressions et meurtres xénophobes, racistes, sexistes et homophobes se multiplient en parrallèle d'agressions et de meurtres contre des militants révolutionnaires. Nous ne pouvons fermer les yeux et n'y voir qu'une "mauvaise passe".

    C'est pour nous le signe de la montée en puissance des mouvements d'extrême-droite, directement liée à la crise du capitalisme et de l'Etat qui se sert des idéologies réactionnaires pour consolider son pouvoir menacé par les révoltes populaires et la menace d'une révolution : afin de décourager à l'avance les potentiels contestataires.

    Nous n'oublions pas notre camarade Timur et tout les autres.
    Nous ne nous laisserons pas faire.

    Contre le fascisme : organisons l'autodéfense
    et accentuons la ferveur de nos luttes !

    votre commentaire
  •  


    votre commentaire
  •  

    Ouverture de la chasse, ou bien ouverture de la casse ? On compte déjà cinq accidents de chasse (quatre blessés et deux morts dont un enfant de 10 ans)

    sur les chasses à ouverture anticipée, alors que l’ouverture générale n’a pas encore eu lieu. L’ASPAS, qui propose des solutions réalistes, est exclue des débats.

     

    A la veille de l’ouverture générale, le ministre de l’écologie organise une réunion sur la « cohabitation » avec la chasse. Mais ne siègeront que les associations de la table ronde chasse ! Aucune structure représentant les autres usagers de la nature (randonneurs, vététistes, cavaliers, ramasseurs de champignons etc.). Ni l’ASPAS, face à qui le ministre s’était pourtant engagé. En effet, l’ASPAS est très en pointe sur ce sujet, et  travaille depuis des années avec ces autres usagers de la nature, des victimes et familles de victimes d’accidents de chasse !
     
    Le 10 février dernier, l’ASPAS remettait plus de 250 000 signatures à Jean-Louis Borloo, ministre de l’écologie pour lui demander le dimanche sans chasse et d’autres mesures efficaces pour enrayer ce mal bien français : les accidents de chasse. Le ministre s’était alors engagé à ouvrir un vrai débat et à prendre, enfin, des mesures innovantes. On les attend.
     
    Comment expliquer cette absence soudaine de l’ASPAS ? Son Président, Pierre Athanaze, ancien administrateur de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, et grand connaisseur du dossier, n’a rien d’un dangereux extrémiste. Mais les chasseurs semblent fuir le dialogue. De très fortes pressions ont été exercées contre l’ASPAS par la fédération nationale des chasseurs et par le président de l’ONCFS Henri Sabarot (ex numéro 2 du parti « jusqu’au-boutiste » Chasse Pêche Nature et Tradition…). Pourtant, un établissement public comme l’ONCFS, sous tutelle des ministères de l’écologie et de l’Agriculture, se doit (se devrait…) d’une neutralité exemplaire sur un tel dossier.
     
    L’ASPAS condamne l’attitude partisane de Jean-Louis Borloo. Celui-ci a été très enclin à prendre un décret de délit d’entrave à la chasse, pour deux ou trois chasses à courre dérangées chaque année par des militants de la cause animale, mais il ne fait rien pour éviter des centaines d’accidents de chasse et des dizaines de morts chaque année suite aux « traditionnels » accidents de chasse. Pour complaire aux intransigeants dirigeants de la chasse française, le responsable de l’écologie enterre le dossier en organisant une réunion de « cohabitation » où les principaux contradicteurs ont été « évités ».

    (Info APSAS)

    votre commentaire