•   
    Native American grandmothers captured this nazi flag from a bunch of dumb neo-nazis
    trying to start their own white supremacist community in North Dakota the other day.
    They burnt it.
    Respect.


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  • Au moins deux loups abattus en deux jours par des chasseurs : merci Monsieur le Ministre de l’Environnement !

    Suite à l’autorisation ministérielle autorisant le tir de loups par les chasseurs au cours de battues non encadrées par l’Etat, deux loups ont été abattus : une louve le 21/9 à Saint-Etienne-de-Tinée et un loup le 22/9 à Beuil (Alpes-Maritimes).

    Un dispositif illégal et inefficace

    Les tirs de ce week-end portent à 10 le nombre connu de loups tués depuis le début de l’année en France, tous dans les Alpes-Maritimes : un loup retrouvé empoisonné, deux loups abattus dont une louve allaitante laissant 5 louveteaux morts de faim, et désormais ces deux loups tirés comme une espèce « gibier ». Le Loup est une espèce protégée, déjà malmenée par un « Plan loup » globalement défavorable. En autorisant des tirs de loup à l’occasion de battues de chasse, le gouvernement se met en dehors du cadre des rares dérogations éventuelles prévues par les textes internationaux, et en dehors des règles qu’il a lui-même édictées dans le « Plan loup » et dans les arrêtés interministériels du printemps dernier.

    Des destructions incontrôlables

    Des chasseurs parlent d’un troisième loup qui aurait été tiré lors de la battue de Saint-Etienne-de-Tinée, mais dont le cadavre n’aurait pas été retrouvé. Il est évident que plusieurs loups peuvent être tués ou blessés au cours de ces battues, sans qu’on le sache et sans qu’on puisse avoir aucun contrôle. Nous exigeons l’annulation immédiate de ces battues d’un autre âge, qui sont la porte ouverte aux dérives les plus graves et placent la France en contradiction avec ses engagements européens de protection du loup.

    Les battues aux loups, une décision démagogique

    La France préfère-t-elle offrir lâchement des loups au bon plaisir des chasseurs, plutôt que de résoudre les vrais problèmes de fond de la filière ovine ? Cette filière est dans une situation économique difficile. Les éleveurs vivent essentiellement de subventions publiques. Si la société française fait le choix de maintenir l’élevage ovin en le soutenant par de l’argent public, on est en droit d’attendre que cette activité soit mise en œuvre de façon compatible avec les enjeux du 21ème siècle, et avec les attentes de la société en matière de protection de la biodiversité.

     


    Communiqué ASPAS/FERUS/FNE/FRAPNA/LPO/SFEPM/WWF du 23/09/2013


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  • 11 septembre 2013 : en Bretagne, journée chargée pour l’indépendance

    Le mercredi 11 septembre à 9h un jeune militant de la Gauche Indépendantiste bretonne et opposant au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes sera jugé en CRPC au tribunal d’instance de Nantes.

    Rappel des faits : le 27 octobre 2012, 11 jours après le début des actions militaires et policières sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, le jeune militant G. participait à une manifestation anti-aéroport. Au passage devant la préfecture de Nantes, il serait alors monté sur la façade et aurait décrocher l’étendard tricolore sous les applaudissements des 3000 manifestants. Mais la manœuvre n’est pas aisée et le drapeau lui glisse des mains et tombe à terre. Le tissus tricolore est alors ramassé par les policiers qui sont au pied du bâtiment. Sans contact avec les forces de l’ordre et sans contrôle d’identité, le jeune militant rejoint le groupe des manifestants.

    L’affaire pouvait s’arrêter là.

    Mais le 31 octobre 2012 au matin, trois policiers se présentent au domicile du militant, et procèdent à une perquisition. Placé en garde à vue, il est emmené au commissariat où on lui fait avouer avoir décroché le drapeau. Puis il a refusé le prélèvement ADN.

    Il sera jugé mercredi matin.

    Il comparaîtra pour «vol» du drapeau et risque 15 000 euro d’amende et un an d’emprisonnement pour refus de prélèvement ADN. BREIZHISTANCE, le parti de la Gauche Indépendantiste bretonne pour lequel il milite, appelle toutes celles et ceux qui le pourront à aller le soutenir devant le tribunal.


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  • En Thaïlande, la très touristique île de Samet est polluée par le pétrole qui s'est répandu samedi 27 juillet au large de ses côtes. 50.000 litres de brut ont fui lors du transfert d'un pétrolier à un oléoduc. C'est la marée noire la plus importante dans la province et l'association pour la défense de l'environnement GREENPEACE met en garde la Thaïlande.

    Sur la grande plage de l'île de Ko Samet, des centaines de militaires, villageois et employés ratissent la plage pour nettoyer des milliers de galettes de pétrole. Environ 300 mètres de sable blanc sont touchés. L'île paradisiaque n'avait jamais connu un tel scénario.

    Dimanche pourtant, le géant du pétrole thaïlandais, l'entreprise publique PTT se voulait rassurante avec dix navires en alerte, prêts à encercler les nappes de brut à la dérive.  Pourtant quelques heures plus tard son directeur reconnaît la responsabilité de l'entreprise et présente ses excuses. Mais pour certains touristes, la décision est prise : ils quittent Ko Samet et ses eaux habituellement turquoises devenues noires.

    GreenPeace inquiet de l'impact

    De son côté Greenpeace appelle la Thaïlande à mettre un terme à son exploitation pétrolière dans le Golfe.Très riche en poissons, cette vaste étendue d'eau est un véritable garde-manger pour les Thaïlandais mais elle subit la menace croissante de centaines d'exploitations pétrolières, qui poussent comme dans champignons.

    Les défenseurs locaux de l'environnement qui avaient déjà alerté les autorités, sont inquiets de l'impact des produits chimiques utilisés pour disperser les nappes de brut.
    D'importants dommages pourraient être causés aux coraux, mais aussi à toute la chaîne alimentaire des poissons.


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